• Forever Michael
     
    1. We're Almost There (3:41)
    2. Take Me Back (3:29)
    3. One Day In Your Life (4:15)
    4. Cinderella Stay Awhile (3:11)
    5. We've Got Forever (3:12)
    6. Just A Little Bit Of You (3:14)
    7. You Are There (3:23)
    8. Dapper-Dan (3:08)
    9. Dear Michael (2:37)
    10. I'll Come Home To You (3:05)
    Sortie : 16 Janvier 1975
    Production : Berry Gordy
    Classements : Pop Albums No. 101 / Black Albums No. 10

    «Forever Michael» sera le tout dernier album solo enregistré par Michael Jackson chez Motown avant de signer avec ses frères sous le label Epic/Cbs.

    C’est un succès honorable, même si le public à peine à reconnaître le petit garçon à la voix si infantile qui a signé les tubes des dernières années.

    La voix de Michael est celle d’un adolescent maintenant, un passage que lui même aura du mal à surmonter, cependant le fabuleux titre «Just A Little Bit Of You Everyday» fait bien vite oublier ce jugement de valeur.

    Sa longue et rude formation chez Motown, à laquelle il doit énormément, prend fin et pourtant le meilleur reste à venir, l’histoire reste encore à construire …


    Singles exploités :
    We’re Almost There / Take Me Back (février 1975)
    Just A Little Bit Of You / Dear Michael (avril 1975)

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  • Music And Me

    1. With a Child's Heart (3:24)
    2. Up Again (2:47)
    3. All the Things You Are (2:55)
    4. Happy (3:19)
    5. Too Young (3:37)
    6. Doggin' Around (2:52)
    7. Johnny Raven (3:31)
    8. Euphoria (2:48)
    9. Morning Glow (3:36)
    10. Music and Me (2:35)
     
    Motown renouvelle l’expérience une fois encore en 1973, donnant à Michael Jackson la possibilité de présenter un album solo parallèlement à l’exploitation de «Skywriter» des Jackson Five.

    Cet album est composé de titres magnifiques tels que «Music and Me» et «With a child’s Heart» sur lequels les auteurs de la maison de disque ont su parfaitement trouver l’inspiration à la composition des titres pour jeune prodige talentueux.

    Suite au succès de «Ben» , le titre «Happy» signera la Bande Originale de «Lady Sings The Blues»


    Single exploité :
    With a child’s Heart / Morning Glow (avril 1973)

     

    Sortie : 13 Avril 1973
    Production : Berry Gordy
    Classements : Pop Albums No. 92 / Black Albums No. 24


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  • Ben

    Ben 
    1. Ben (2:44)
    2. Greatest Show on Earth (2:48)
    3. People Make the World Go Round (3:15)
    4. We've Got a Good Thing Going (2:59)
    5. Everybody's Somebody's Fool (2:59)
    6. My Girl (3:08)
    7. What Goes Around Comes Around (3:33)
    8. In Our Small Way (3:39)
    9. Shoo-Be-Doo-Be-Doo-Da-Day (3:21)
    10. You Can Cry on My Shoulder (2:39)

     

    La même année que la sortie de «Got to Be There» , Motown continura sur sa lancée en exploitant un autre album solo pour Michael Jackson, afin d’atténuer le semi-échec du précédent.

    Son nom, «Ben» , qui servira de base pour la bande originale du film du même nom s’appuyant sur une relation amicale d'un enfant avec un rat.
    Le single est un hit par excellence qui se placera directement à la première place des charts, une chanson pleine d’émotion, soutenue par une interprétation magistrale de la part de Michael avec cette fois un thème qui colle à son jeune âge.

    Ce seul single sera exploité en 45T, le reste de l’album s’assure toutefois un succès déjà acquis avec plusieurs reprises (habituelles) des titres stars de Motown, en autre «People Make The World Go ‘Round» des talentueux Stylistics, l’éternelle «My Girl» des Temptations ainsi qu’un petit clin d’œil à l’autre prodige de la maison qu’est Stevie Wonder « Shoo-Be-Doo-Be-Doo-Da-Day» , une reprise excellente et somptueuse ici par Michael Jackson.

    La couverture originale, destinée à la promotion du film, comportait une illustration de rats qui n’encourageait pas a vente de l’album, alors la seule la photo de Michael sera portée en couverture pour les pressages suivants.


    Single exploité :
    Ben / You can cry on my shoulder (juillet 1972)

    Sortie : 4 août 1972
    Production : Berry Gordy
    Classements : Pop Albums No. 5 / Black Albums No. 4


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  • Got To Be There

    1. Ain't No Sunshine (4:09)
    2. I Wanna Be Where You Are (3:00)
    3. Girl Don't Take Your Love from Me (3:46)
    4. In Our Small Way (3:34)
    5. Got to Be There (3:23)
    6. Rockin' Robin (2:30)
    7. Wings of My Love (3:32)
    8. Maria (You Were the Only One) (3:41)
    9. Love Is Here and Now You're Gone (2:51)
    10. You've Got a Friend (4:45)

     

    Sortie : 24 Janvier 1972
    Production : Hal Davis / The Corporation
    Classements : Pop Albums No. 14 / Black Albums No. 3

    Suite au succès de quatre singles placés consécutivement en première place des charts américains, et surtout depuis l’incroyable succès réservé à «I’ll be there» , Michael Jackson se voit donner une chance toute spéciale par la maison de disque Motown en vue de l’enregistrement d’un album solo.

    Une proposition toute relative, car les ventes de disques des Jackson Five s’affaiblissent et il faut trouver une alternative rapide.

    Ainsi sortira en 1972, «Got to Be There» , le tout premier album de ce bambin d’à peine 13 ans.
    Les singles «Got To Be There» , «Rockin’ Robin» et «I Wanna Be Where You are» se verront réserver un très bon accueil auprès du public même si l’album en lui même ne se placera que timidement à la 14e place du classement des ventes, peut être parce que le répertoire est constitué de nombreuses chansons d’amour qui sont en mauvaise adéquation avec le jeune âge de Michael à cette époque.


    Singles exploités :
    Got to be there / Maria (you were the only one) (octobre 1971)
    Rockin’ Robin / Love is here and now is gone (février 1972)
    I wanna be where you are / We’ve got good thing going (mai 1972)
    Ain’t no Sunshine (En Grande-Bretagne uniquement)


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  • Moonwalker

     

     

     

     

     

     

     

     

    C'est un film de Michael Jackson réalisé par Jerry Kramer et Colin Chilvers, sorti en décembre 1988, contenant de nombreux vidéo-clips de l'artiste dont ceux de Smooth Criminal, Leave Me Alone et Speed Demon.

    La vidéo cassette de Moonwalker reste la vidéo musicale la plus vendue de tous les temps (battant ainsi The Making Of Thriller). Sortie en VHS en 1989.

    Le titre vient du moonwalk, un pas de danse popularisé par Michael Jackson.

     

    Présentation

    Le film se déroule en 2 parties :

    • Une première partie avec les clips, démarrant avec la chanson Man in the Mirror en live, puis continuant avec des extraits des différents clips où il figure, depuis I Want You Back des <a-redirect href="http://www.kazeo.com/wiki/Jackson_Five" title="Jackson Five"></a-redirect><a-redirect></a-redirect><a-redirect></a-redirect><a-redirect></a-redirect>Jackson Five jusqu'à Dirty Diana avec quelques effets spéciaux.

    Vient ensuite une parodie de Bad jouée non pas par Michael Jackson et des danseurs mais par des enfants où Brandon Adams y incarne l'artiste. À la fin du clip, des enfants agents s'empressent autour du jeune Michael pour lui annoncer son planning. Une mystérieuse fumée blanche apparaît pour laisser place au vrai Michael Jackson et ses agents. Le voyant en vrai, des personnages d'animations le pourchassent. Pour s'enfuir, Michael n'a qu'une solution : se déguiser en lapin. C'est ainsi que démarre le clip Speed Demon, suivi de Leave Me Alone.

    • La seconde partie est un moyen métrage mettant en scène, aux côtés de Michael Jackson, Joe Pesci, Sean Lennon, Kellie Parker et Brandon Adams. Mis en scène dans le ranch de Neverland, il est truffé d'effets spéciaux et montre le combat du chanteur contre un parrain de la drogue joué par Joe Pesci (L'Arme fatale).

    Le final du film montre un enregistrement public de Come Together  par Michael Jackson, une reprise des Beatles dont il venait d'acquérir les droits.

     

    Histoire

    Pendant qu'ils jouaient à Neverland, Michael, Kellie, Brandon et Sean perdent la balle avec laquelle ils jouaient, rattrapé par Skiper, leur chien. Cependant, Skiper rentre dans une forêt où un panneau indiquant « Warning Keep Out ». Sans y faire attention, Michael et Kellie s'engouffrent de plus belle dans la forêt et aperçoivent une araignée sur une roche. Michael appuie dessus et une porte s'ouvre. Ils s'empressent d'y pénétrer afin de découvrir ce qu'il s'y trame. Les deux personnages découvrent Frankie Lideo (incarné par Joe Pesci) faisant des projets pour conquérir le monde entier avec sa drogue et ses principaux clients, les enfants. Il utilise pour cela des tarentules (la façon dont les tarentules interviennent sur les enfants n'est pas indiquée). À ce moment précis, Kellie en aperçoit une sur sa main et crie, ce qui aura pour conséquence d'alarmer Frankie Lideo qui envoie ses soldats à la recherche des deux intrus.

    La suite de l'histoire montre une course-poursuite entre Michael Jackson et les soldats de Frankie Lideo. À trois reprises, une étoile filante passe aux moments les plus critiques pour Michael (première fois lorsqu'il est devant sa porte où les soldats lui tire dessus en masse, seconde fois où il est coincé dans un cul de sac, troisième fois lorsque Frankie tente d'injecter de la drogue sur Kellie) lui permettant de se transformer afin de pouvoir s'échapper (par exemple, en voiture lorsqu'il est pris dans un cul-de-sac et en un robot lorsque Kellie fut en danger).

    Durant cette course poursuite, les enfants se rendent au Club 30, endroit de rendez-vous donné par Michael. Ils y découvrent un club en ruine et un peu hanté (par exemple, une boule de billard bouge toute seule lorsque Sean veut la toucher). Ils s'empressent d'en sortir et voient une voiture se garer au coin de la rue puis se transformer en Michael Jackson qui s'empresse de rentrer dans le club. À l'ouverture de la porte, une fumée blanche apparaît et disparaît après avoir fermé la porte. C'est ainsi que démarre le clip Smooth Criminal. À la fin du clip, les deux garçons retrouvent Michael et lui annoncent que Kellie a été capturée (comme on pouvait le voir dans le clip). Ils essayent donc de la retrouver.

    Pendant leur recherche, Michael tombe dans un piège et se fait immobiliser par les soldats qui lui font observer Mr Big frappant Kellie pour qu'elle se calme et qu'ils puissent lui injecter de la drogue (« La première fois est la meilleure », précise-t-il). À ce moment, une étoile filante passe et permet à Michael de se transformer en robot géant et de vaincre ainsi Mr big et ses soldats. Les enfants hors de danger, Michael s'en va en volant (sous forme de robot). Les enfants sont alors tristes de voir Michael partir. C'est alors qu'ils aperçoivent une ombre venir près d'eux, cette ombre étant celle de Michael Jackson. Il leur annonce qu'il ne pouvait pas les laisser seuls, qu'ils leur avaient manqué.

    Il décide donc de les emmener à nouveau au Club 30 où une fumée blanche vient les accueillir. Ils se retrouvent alors dans un endroit rempli de câbles électriques et découvrent que c'est une scène où Michael monte interpréter Come Together des Beatles.

    Le film se termine par le clip Smooth Criminal (version album) qui est présenté durant le générique final.

     

    Le film Moonwalker a donné son nom à un jeu vidéo qui porte le même nom, Michael Jackson's Moonwalker, sorti en 1990 en trois versions : pour bornes d'arcade, consoles Sega et ordinateur.

    La borne du jeu SEGA ne figure pas dans ma collection.

  • Michael Jackson, illustré de photos du film par David Newman (trad. Catherine Dreyfus), Moonwalker : Le livre du film / une histoire originale de Michael Jackson, illustré de photos du film par David Newman, Michel Lafon, Paris, 1988, 74 p. (ISBN 2-86804-607-X
  • Sortie en DVD EN 2005


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